Edward BACH, son chemin de vie…
La période déterminante de sa vie
Altruiste et humaniste, il désire s’engager quand la guerre éclate en 1914. Il est toutefois réformé à cause de sa mauvaise santé.
Très malade, il fait une hémorragie dû à un cancer. Les médecins lui donnent 3 mois à vivre.
Refusant cette perspective avant d’avoir trouvé ce qu’il cherchait, il se jette à corps perdu dans ses travaux. Il s’aperçoit alors que sa santé s’améliore. Il en conclut que le fait de suivre le chemin que l’on s’est tracé conduit à une bonne santé. Cette constatation sera la base de sa philosophie.
« Si nous suivons nos instincts, nos souhaits, nos pensées, nos désirs, nous ne devrions jamais connaître que la joie et la santé »
Dr Bach
Solitaire et trop occupé à effectuer ses recherches, il se marie 2 fois : après le décès de sa première femme, il se sépare de sa 2eme.
Grand travailleur, il cumule plusieurs emplois en plus de son activité de médecin afin de faire face aux charges de la vie quotidienne.
Déterminé à découvrir une méthode de guérison simple et à la portée de tous qui traite le malade et non la maladie, il fait des recherches et met au point 7 vaccins connus sous le nom de « nosodes » utilisés encore de nos jours en Grande Bretagne. Il obtient de très bons résultats et les professionnels viennent se former à ses techniques.
« La santé est notre patrimoine, notre droit. C’est l’union complète et entière de l’âme, de l’esprit et du corps ; et ce n’est pas un idéal inaccessible, mais quelque chose de si simple et de si naturel que bon nombre d’entre nous l’oublient. »
Dr Bach
Pourtant, considérant que ces injections sont encore trop douloureuses, il est insatisfait et continue ses recherches persuadé qu’il peut faire mieux…
Très gêné par les travaux du Dr Bach qui vont à l’encontre des théories déjà mises en place, le corps médical menace ce dernier de le radier de l’ordre des médecins.
Décidé à continuer son travail sans se laisser influencer, il ne tient pas compte de ces remarques. Après quelques échanges de courriers très « fermes », le corps médical le laissera poursuivre ses recherches sans toutefois le soutenir…
A suivre :
L’aboutissement
Patricia